Depuis le XXème siècle, on utilise de l'énergie nucléaire sous forme de fission pour produire de l'électricité. Mais cette énergie est loin d'être renouvelable et d'ici 2050 la population mondiale pourrait atteindre les 9 milliards d'habitants avec une demande en énergie toujours plus forte, liée au développement continu des pays.
Comment pourrons-nous alors répondre aux besoins mondiaux en énergie ?
Mais ce n'est pas tout, cette exploitation d'énergie possède de nombreux désavantages entre le rejet de déchets nucléaires dans l'atmosphère ( très nocifs pour la santé ainsi que pour l'environnement) et les risques constants d'explosions, de libérations radioactives comme nous avons pu le constater à Tchernobil en 1986 ou encore il n'y a pas si longtemps à Fukushima en 2011.
C'est pourquoi aujourd'hui, les états se réunissent pour trouver une solution qui, théoriquement, remédierait à tous les ennuis que connaît le nucléaire. c'est ainsi que le projet Iter rentre en jeu, celui-ci prévoit de remplacer la fission de l'uranium très instable par la «Fusion» de noyaux d'hydrogène pour ainsi dégager une forte quantité d'énergie. On aurait alors, d'après les scientifiques, une énergie abondante, accessible à tous, plus sûre et surtout plus propre.
Le nucléaire aurait-il en fin de compte un avenir durable et plus sûr possible?
